Un atelier d’arts plastiques à lieu à la maison d’arrêt de Caen. La caméra filme des gestes, des objets, l’architecture. Le visage des participants n’apparaît pas : c’est interdit. Leurs paroles, par contre, sont enregistrées.

    Le documentaire témoigne simplement d’un moment de vie sociale retrouvée. Il montre des humains dont on perçoit des bribes de personnalité, mais dont on ne connaîtra ni l’histoire ni l’identité.